La Fédération des Entrepreneurs au Congo (FEC), Groupement Provincial du Sud-Kivu, a réaffirmé son soutien indéfectible au Gouverneur de la province, le Professeur Jean-Jacques Purusi Sadiki, dans la lutte contre l’exploitation illicite des ressources naturelles.
Ce soutien a été exprimé à travers un communiqué de presse publié ce mercredi 8 janvier 2025 et consulté par La Prunelle RDC le jeudi 9 janvier 2025.
Dans ce communiqué, la FEC, structure respectueuse des textes régissant le secteur minier en République Démocratique du Congo, a invité les opérateurs miniers actifs dans la filière aurifère à respecter ces normes et à veiller à ce que leurs activités contribuent au développement économique et social des communautés locales.
La FEC encourage également l’exécutif provincial, dirigé par le Gouverneur Jean-Jacques Purusi, à poursuivre et renforcer ses actions en matière de lutte contre l’exploitation illégale des minerais et à consolider les partenariats avec les acteurs économiques. La structure économique estime que cela contribuera à assainir le secteur minier et à favoriser un environnement économique et environnemental plus sain pour la province du Sud-Kivu.
« La FEC Sud-Kivu encourage Son Excellence Monsieur le Gouverneur de Province et tous les membres de son Gouvernement à poursuivre sans relâche les actions tendant non seulement à consolider les acquis du partenariat stratégique avec le monde des affaires de notre Province, mais aussi à assainir l’environnement économique, gage du développement de la Province du Sud-Kivu. » a dit Monsieur Joyeux Bahidika Mirindi, Président du Conseil Provincial de la FEC Sud-Kivu
Cette mobilisation intervient dans un contexte de plus en plus préoccupant face à l’exploitation illicite des ressources naturelles. Le même jour, la Société civile du Sud-Kivu, en collaboration avec diverses forces vives, a organisé une marche pacifique dans les rues de Bukavu pour dénoncer cette pratique et demander la fin de la prédation des ressources naturelles, souvent menée en complicité avec des sociétés étrangères, principalement à capitaux chinois.
Les manifestants ont exigé des autorités congolaises qu’elles prennent des mesures fermes pour stopper ce pillage des ressources.